deux films réussis

C'est que le césar du film qui a rapporté le plus d'argent, ça n'existe pas.

Il fallait bien faire plaisir à Dany Boon, il était à deux doigts de s'agacer.

Je suis contente aussi pour Séraphine que je n'ai pas vu non plus. J'irai sans faute si il est reprogrammé dans ma ville.

J'adore Yolande.

herbertlecanard a écrit:

pas mal de personnages caricaturaux sans que je comprenne
le message, s'il y en a un (critique des éditeurs ? du narcissisme des auteurs ? ).
Par contre, je me souviens que le film fait bien ressortir l'enfer des insomnies...

Je proteste, argh, je proteste, tous les personnages (à part Barton Fink, qui est plutôt un archétype en effet) ont tous bien existés. L'écrivain bourré, c'est Faulkner, et tout ce qui y est abordé est vraiment poignant le concernant. Cette prison que devint Hollywood pour lui, les derniers romans et scénars vraisemblablement écrits par sa femme (ancienne secrétaire), son deuil, son alcoolisme.

le producteur itou. Je ne me souviens plus de son vrai nom, mais même la nomination au grade de général sans jamais avoir fait l'armée. Tout cela, tout aussi dingue et caricatural que ce soit, fait partie de l'Histoire d'Hollywood.

Vache, vous me faites mal !

C'est ce que je disais, j'ai pas la culture pour comprendre !

ben moi non plus
j'ai pas suivi un cursus sur "ors et désillusions à Hollywood" en 3ème cycle d'histoire du cinéma

Barton Fink serait-il un film élitiste, culturellement parlant ?

Bon je ne leur en tiens pas rigueur ! Ensuite leurs héros sont plutot zéro cerveau...